
Vichy n’en est pas à sa première canicule, c’est important de le préciser pour nos jeunes générations. Par le passé les curistes pour la plupart venaient d’Afrique et ne craignaient pas la chaleur. Avant 1940 la ville étaient moins importante et les données de températures étaient prises dans un jardin maintenant rue de Vingré, elles ne montraient pas d’écart avec le port aérien de Vichy-Rhue. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui ou on note au moins 2 degrés d’écart en plus à Vichy Ville ( poste disparu, aux Dôme) par rapport à Charmeil. C’est surtout la nuit que les températures minimales sont plus élevés qu’en banlieue. L’importante masse de bâtiments a du mal à se refroidir .
Certains on connu l’été, les arroseuses municipales, qui rafraichissaient encore les principales rues de Vichy dans les années 90, dans les années 30 l’eau était accompagnée de parfum, le luxe, Vichy était la Reine des Villes d’eaux, noblesse oblige. Depuis le écolos sont passés par là et les restrictions d’arrosage on eu raison de ces méthodes de rafraichissement. Tout le monde connait les méthodes pour rester au frais dans son logement, cependant au bout de quelques jours l’habitation prend la température moyenne de l’air extérieur. Il n’est alors plus possible de faire baisser la température, sans climatiser…. Dur, dur!