Nos voisins transalpins ne sont pas mieux lotis que nous, ils subissent eux aussi la punition du passe sanitaire (chez eux: « green pass »), mais en France, le prix Nobel, découvreur du virus du sida, autrefois porté au pinacle est désormais interdit de séjour, ou du moins excommunié par le même système qui l’a adulé et prétend aujourd’hui qu’il est sénile: il fait même l’objet d’une plainte de l’ordre des médecins (1)
Le prix Nobel qui a découvert le virus du sida arrive en Italie. Plus de 2 000 personnes sont venues l’écouter et la Bussola y était: « Nous sommes dans une dictature sanitaire, ce n’est plus une démocratie. Ces vaccins ne sont pas de vrais vaccins, mais un assemblage compliqué de biologie moléculaire qui est capable d’être un poison. C’est une horreur de forcer des gens, maintenant des enfants, à être inoculés avec cette préparation moléculaire. Je renouvelle mon appel aux médecins pour qu’ils prescrivent des traitements qui fonctionnent. Le Green pass? C’est une affaire de marketing. Complotistes, nous? Non, ce sont eux qui complotent.
Luc Montagnier, lauréat du prix Nobel de médecine en 1983, a l’air amusé mais poli de quelqu’un qui a l’habitude de se battre par principe sans se laisser démonter. Le plus connu des milliers de médecins et de scientifiques du monde entier qui se sont regroupés en associations pour s’opposer à la vulgate à sens unique transmis par les principaux médias en matière de vaccination, l’universitaire français était à Florence ces derniers jours à l’initiative d’un groupe de volontaires de « Atto Primo » ancé par Tiziana Vigni et Daniele Granara [deux avocats impliqués dans la défense des droits et en particulier la lutte contre l’obligation vaccinale]. Un public très attentif de deux mille personnes venues de toute l’Italie l’a écouté. Les réponses données par le professeur, qui a lancé un appel répété aux médecins pour qu’ils prescrivent des médicaments pour combattre et guérir le Covid, n’auraient pas pu être plus claires. Ce qui suit est un résumé de la conférence de presse et de la présentation ultérieure au public à laquelle La Bussola était présente.
« Nous sommes dans une dictature sanitaire, plus dans une démocratie », a commencé Montagnier, en français traduit par l’interprète. « Nous voyons se réaliser un programme horrible, préparé depuis longtemps, éclatant au moment voulu, et visant surtout les pays riches. C’est la principale raison pour laquelle ils ne promeuvent qu’une seule solution, celle des vaccins ».
« Ces vaccins ne sont pas de vrais vaccins, mais un assemblage compliqué de biologie moléculaire qui peut être un poison. C’est donc une horreur de forcer des gens, maintenant des enfants, à être inoculés avec cette préparation moléculaire. Je réitère mon appel aux médecins pour qu’ils prescrivent les traitements disponibles et efficaces ».
Le Green Pass? Il n’est pas utile pour la santé publique. Le Green Pass est une affaire de marketing.
« Je veux le répéter clairement : ces vaccins sont inutiles, dangereux et inefficaces. Contrairement à ce que l’on nous a dit, ces vaccins n’empêchent pas du tout la propagation du virus ».
« C’est un crime de vacciner les enfants, car même s’ils ne souffrent pas d’effets négatifs maintenant, il peut y avoir des effets à long terme au-delà de ce que nous voyons maintenant. Des effets à long terme que nous ne connaissons pas encore ».
« Et c’est un crime d’autant plus qu’il existe des méthodes alternatives pour traiter cette infection, qui sont également moins coûteuses que les vaccins et qui nous permettraient de nous débarrasser de cette maladie ».
« Mais dans les médias, il n’est pas question d’alternatives, d’autres types de vaccins ou de remèdes. Et si quelqu’un signale les effets négatifs, cette personne est éliminée, nous vivons donc dans une authentique réalité de mensonges ».
« C’est pourquoi il faut condamner le marketing des grands laboratoires pharmaceutiques, des médecins et des scientifiques, et surtout des gouvernements. »
Au milieu de nombreuses confirmations de la situation dramatique que vit l’humanité, une blague sur Anthony Fauci a détendu l’atmosphère. Interrogé sur sa relation avec le gourou américain, qui contrairement à lui a changé plusieurs fois de version depuis le début du bouleversement du coronavirus, il a répondu :
« J’ai rencontré Fauci au moment de la découverte du virus du sida et je sais qu’il a ensuite eu des promotions de son laboratoire pendant tout ce qui s’est passé. Mais », sourit Montagnier, amusé, « malheureusement ce n’est pas lui qui a découvert le virus du sida ! »
Parfois, le public a précédé l’interprète, par ailleurs très clair, applaudissant les paroles du professeur déjà en français, comme lorsqu’on lui a demandé de s’exprimer sur la gestion de la pandémie (très peu de soutien de la part de la médecine territoriale, « attente vigilante » suivie de l’interruption de toute communication avec les proches une fois hospitalisés, et autopsies fortement découragées), Montagnier a martelé en français « …. des activités criminelles« . Des activités qui conduisent à la mort « non seulement des patients mais aussi de leurs soignants ».
« D’un autre côté, on voit que les mêmes mesures dont vous parlez en Italie sont en place en France, en Angleterre et aussi ailleurs, donc elles sont concertées. C’est pourquoi nous devons répondre de manière concertée à ce groupe au pouvoir. Ils nous traitent de complotistes ? Non : ce sont eux qui complotent !« .
La conclusion du professeur, qui est heureux d’être « à la retraite », car cela l’éloigne de la pression que subissent nombre de ses collègues, est que « l’humanité développe les raisons de sa propre disparition ». Mais il y a encore de l’espoir, à condition que nous acceptions de vivre dans un monde rationnel et juste qui accepte aussi des choses qui ne sont pas prévues par un petit groupe de personnes », c’est-à-dire un groupe de personnes au pouvoir. Pas seulement politique.