Le Ciel Unique Européen phase 2 (ou SES2+ en jargon). Pour les services météos à l’aéronautique, le PDG de Météo-France est tout à fait en accord avec l’analyse de Force Ouvrière : la Commission Européenne cherche, contre l’avis de la majorité des États (France et Allemagne en tête), à remettre en cause la liberté de choix de chaque pays d’un prestataire unique interne qualifié ; mais elle finirait de cette manière par casser délibérément le modèle économique de la plupart des services météos européens (Météo-France ou DWD), alors que ceux-ci investissent massivement depuis longtemps dans l’observation au profit de la sécurité aéronautique. Ce SES2+ reviendrait à donner les charges aux États et à privatiser les bénéfices des services à l’aéronautique. C’est totalement inadmissible !
Juin 29
Tornade du 19 juin suite
Notre ami Joël nous a adressé un complément sur la tornade du 19 juin en Bourgogne
Voici 2 cartes des pluies du 19 juin avec les fameux orages dont un devastateur vers Châtillon-sur-Seine.
Pourquoi ? Il s’avère que la carte issue des mesures radars que je vous propose en général est cette fois sous-estimée notamment sur le secteur est de Dijon, plaine de Saône. Certainement en raison d’un effet de masque dû à l’énorme densité des pluies qui se sont déversées vers 2h du matin sur cette région. En effet on a pu observé jusqu’à 20 mm en 6 minutes ce qui correspond à des valeurs rarement atteintes en France.
J’ai moi-même recueilli une valeur extrême dans mon pluviomètre à Varanges avec 82,6 mm et ceci est confirmé par Jean-Luc à 3 km de là ainsi que par St Nicolas-les Citeaux et Chamblanc qui dépassent eux aussi les 70 mm.
Donc je fournis une 2eme carte avec un tracé effectué à partir des données relevées au sol qui montrent la localisation de ce sac d’eau énorme.
Juin 25
Le best of des Applications météo sur un magazine informatique
Sur le journal 01 net magazine de la Higth-Tech plaisir à la rubrique “services conso” une série d’applications météo a été testée.
On cherchera en vain une application de Météo-France. La direction de Météo-France s’étant engagée à éviter le monopole de fait, ne fait rien! Elle laisse le champ libre à ses concurrents . Dommage car cette application si elle avait existé, aurait écrasé toutes les autres, on peut faire confiance aux ingénieurs et techniciens de cette administration malmenée par l’Union Européenne et le gouvernement français complice!
Juin 25
Tornade du 19 juin 2013 en Bourgogne
Mai 24
Mi-mai 1370 Neige dans la région de Moulins
On était au milieu du mois de mai. Le château de Belleperche (Château disparu aujourd’hui) en la paroisse de Bagneux‑en‑Bourbonnais, était aux mains des Anglais qui y firent prisonnière la femme de Louis II, duc de Bourbon. Ils ne purent tenir longtemps la place et la quittèrent soudainement après y avoir mis le feu.
Le duc Louis y pénétra; ses soldats purent éteindre l’incendie. Ce que voyant les rapaces reprennent l’offensive. Mais la neige tombait en si grande abondance et le sol en étant si couvert, ils ne purent se servir de leurs engins de guerre et durent reprendre le chemin de Montluçon.
(Chronique des ducs de Bourbon)
Mai 20
Automne,Hiver,Printemps pourris !
Le journal La Montagne a bien intégré les changements politiques dans la météo en France.
Un exemple nous est donné ce Lundi de Pentecôte ou elle veut en savoir plus sur les conditions météo passées et prévues. Dans l’article le journaliste donne la parole à Météo-Consult société française de météorologie privée( dépendant du groupe Le Figaro”. Qui exploite avec un nombre réduit de personnels, les différents modèles qu’elle récupère pour rien, voire une bouchée de pain. Météo-France avec la disparition de ses Centres départementaux voulue par l’Europe, a en effet laissé l’espace libre pour des sociétés privées européennes, ce qui était le but des gouvernements français . La précision se dégrade, des sociétés peuvent rivaliser avec Météo-France. Ainsi une société privée (dépendante d’un groupe de Presse ) devient une référence en matière de météo ou de climatologie.
Mai 07
Crue de mai 2013 en Côte d’Or
Après un hiver bien arrosé ayant permis aux nappes phréatiques de se reconstituer,
ce qui ne s’était pas produit depuis plusieurs années, le printemps maintient une fraîcheur marquée
peu propice au démarrage de la végétation. Même si mars ne présente pas de pluviométrie excédentaire,
les sols restent proche de la saturation. Avril et ses frimas retardent le démarrage de la nature
qui ne puise pas ainsi l’eau du sol. Cette eau est entretenue par des pluies significatives du 8 au 12 avril
puis survient un épisode enfin printanier avec 25°C , cerisiers en fleur, hirondelle enfin de retour le 15.
On y croit mais c’est alors que se met en place une situation météorologique typique
de la saison avec un flux de sud rapide d’altitude apportant un air tropical et humide.
Cette masse d’air présente un potentiel très élevé en pluviométrie, il suffit de le déclencher.
La première perturbation se déclenche le vendredi 26 et se poursuit le samedi 27 (sortie morilles annulée)
sur la moitié est de la France arrosant de 50 à 60 mm l’ensemble de la Côte d’Or ( et d’autres département ) .
Cela représente déjà une grosse quantité mais les sols encaissent et l’excédent fait monter modérément
les rivières. Les sols sont bien sûr archi saturés et les retenues aussi.
On croit l’épisode terminé et en effet l’air chaud est évacué, seules des averses persistent, parfois orageuses.
Le drame se prépare pourtant pour le vendredi 3 mai, environ 1 semaine après ce 1er épisode.
Météo-France l’a décelé le mercredi et lance une alerte vigilance orange aux fortes pluies le jeudi.
Qu’ont-il vu ? Une goutte froide !
Il s’agit d’une situation fréquente et pas toujours facile à situer spatialement.
Cela se visualise sur une carte des températures à 5000 m d’altitude. On y voit une poche d’air plus froid
que l’air environnant. Lorsque celui ci vient surplomber de l’air chaud de surface cela provoque orages
et pluies diluviennes.
Dès le 2 au soir, la goutte atteint la Côte d’Or et l’explosion orageuse se traduit par 30 mm
en 1 h sur les sources de l’Ouche ainsi que Beaune, la grêle à Dijon, mais aussi Til-Chatel, Fahy-Billot …
Le problème de ces gouttes c’est leur lenteur de déplacement. La goutte stagne sur le 21,
les nuages s’enroulent autour dans le sens inverse des aiguilles de la montre, les pluies fortes persistent.
Rapidement les cumuls s’envolent. La zone la plus touchée s’avère être les hauts-de-côte,
la montagne dijonnaise…comme par hasard c’est le bassin versant de l’Ouche.
Plus de 70 mm relevé à la station automatique du col de Bess
ey-en-Chaume.
Le radar météo mesure 90 à 100 mm vers la région de Detain-et-Bruant.
C’est énorme et comme vous pouvez le voir en annexe dans l’étude de la DDT (ex DDE)
on rentre parfaitement dans le schéma des grandes crues historiques.
Passons au déroulement de la crue:
L’Ouche est surveillée par plusieurs limnimètres, j’en ai sélectionné 4.
Bussière-sur-Ouche : la plus en amont.
le 1er épisode (26,27) a augmenté le débit de 15 m3/s et le niveau de 50 cm.
l’épisode du 3 mai ajoute 1 mètre et le débit augmente de 55 m3/s.
La crue culmine le 4/5 à 00 h.
Pont de Pany : environ 12 km en aval
Le 1er épisode ajoute 20 m3/s et 1mètre
Le 2eme ajoute 2 mètre et 80 m3/s
La crue culmine le 4/5 à 4 h.
Plombières : encore 15 km de plus
Le 1er épisode ajoute 30 m3/s et 1mètre
Le 2eme ajoute 1,6 mètre et 105 m3/s
La crue culmine le 4/5 à 11 h.
Crimolois: encore 16 km de plus et la traversée du lac Kir
Le 1er épisode ajoute 45 m3/s et 1mètre
Le 2eme ajoute 1,8 mètre et 140 m3/s
La crue culmine le 4/5 à 21 h.
On notera la non linéarité de la loi reliant la cote et le débit, le ralentissement de la progression de l’onde de crue
surtout à la traversée de Dijon ( et du lac), le débit qui augmente de plus en plus avec l’apport des affluents
et contributions diverses .
Comparaison aux crues de références:
A Varanges tous les anciens citent à juste titre la crue d’octobre 1965 comme celle du siècle. Elle inonda l’ensemble du village.
Elle est décrite dans l’annexe ci-après. Le débit était estimé à Crimolois, un peu en amont de Varanges, à 194 m3/s.
Voici pour Crimolois la comparaison de 2013 avec les crues de références:
Avec 186 m3/s la valeur est très proche de 1965 et supérieure à 2001.
La durée de retour diffère selon la méthode statistique employée mais elle est proche
de 50 ans pour cette valeur.
Quand on voit la durée de retour de 100 ans ( 239 m3/s) ça devrait ajouter 60 cm de cote à la rivière….
Je n’ose y penser !!
Annexe (extrait étude DDT)
3.4 CRUES HISTORIQUES La connaissance des crues historiques est fondamentale pour la compréhension des écoulements en crue sur l’ensemble du bassin versant. Des rencontres avec les différents syndicats de rivière, les communes et les riverains ont été réalisées. L’analyse bibliographique des études existantes et les enquêtes de terrain ont permis de recueillir des repères de crue, qui ont été nivelés par un géomètre. Ces repères concernent principalement les crues de 1965 et 2001 sur l’ensemble des cours d’eau concernés. 3.4.1 Crues de l’Ouche Les crues historiques marquantes de l’Ouche ont eu lieu en 1866, 1910, 1930, 1965, 1968, 1982, 1996 et 2001. On reconnaît ici les grandes crues d’ampleur plus régionale (Bassin Parisien et Doubs/Saône : crue de l’hiver 1982, crues de 1910 et 1930, Grand Est de la France : crue de mars 2001, vicennale sur la Saône, Rhône moyen : crue de 1996, décennale, Loire Moyenne : crue de 1866) ; seules les crues de 1965 et 1968 semblent avoir été plus locales. aucune station n’était en place Pour les crues les plus (anciennes 1866-1910-1930), pour mesurer et restituer les hydrogrammes de crue. Les sources bibliographiques sont cependant relativement abondantes et la DREAL Bourgogne dispose d’une chronique de hauteur au pont de Plombières-lès-Dijon pour les crues les plus fortes de ces 150 dernières années (source : Atlas des zones inondables de la Région Bourgogne – Vallée de l’Ouche – Juillet 1995).
A partir de 1965, les hydrogrammes de crue ont pu être mesurés à la station de Plombières-lès-Dijon. Le débit maximal de la crue d’octobre 1965 a été estimé à 177 m3 /s (jaugeage à la pointe de crue aux Trois Ponts– Etude des inondations de l’Ouche dans l’agglomération dijonnaise pour une crue de type 1965 – Sogréah 1994 )
Les débits de pointe évalués ou estimés à la station de Plombières pour ces différentes crues historiques sont présentés dans le Tableau 5
Tableau 5 – Débits estimés au pont de Plombières-lès-Dijon pour les crues historiquesLa plus forte crue connue avec 195 m3 /s à Plombières-lès-Dijon est celle de 1866. Pour cette crue, le rapport des Ponts et Chaussées du département de la Côte d’Or indique qu’elle est survenue après une chute d’eau de 95 mm en 36 heures sur le bassin de l’Ouche, le maximum de pluie atteignant 120 mm sur certains points du bassin. De nombreux débordements ont été recensés pendant la crue d’octobre 1965. A l’amont de Dijon, des échanges ont eu lieu entre l’Ouche et le canal. Dans la traversée de Dijon, les inondations au droit de l’usine de Chèvre Morte et de l’hôpital psychiatrique en amont de la rue Hoche ont été en partie provoquées par l’obstruction des vannes du lac Kir par un ouvrage provisoire. A l’aval, les villages ont été submergés. Suite à cette crue, de nombreux travaux de curage, rectification du lit, aménagements et endiguement de l’Ouche ont été réalisés. La crue de décembre 1982 quant à elle, avait été précédée de conditions pluviométriques assez exceptionnelles avec 104 mm de précipitations enregistrées en novembre 1982 et 71 mm en octobre. Le total des précipitations de décembre s’élevait quant à lui à 125 mm, soit 2 fois la normale du mois. La succession de précipitations intenses sur de courtes périodes et/ou leur survenue sur des sols déjà humides engendrerait les plus fortes crues de l’Ouche La crue de mars 2001 a quant à elle été marquée par la rupture d’une digue en rive gauche de l’Ouche à Varanges qui a favorisé des inondations sur une grande partie de la plaine en aval. De manière générale, les débordements étaient plus localisés que pour la crue de 1965. 3.6 CRUES DE RÉFÉRENCE Une analyse statistique des débits maxima annuels permet de définir la période de retour des crues historiques mesurées sur les cours d’eau jaugés, et de définir les débits de période de retour centennale.
La période de retour d’une crue exprime en années la probabilité de voir se produire un tel événement chaque année. Par exemple, une crue de période de retour 2 ans a un risque sur deux d’être atteinte ou dépassée chaque année. Une crue centennale est une crue qui a un risque sur 100 d’être atteinte ou dépassée chaque année. Cependant, une crue centennale ne se produit pas tous les 100 ans.
Tableau 6 – Débits et périodes de retour des crues historiques,estimation des débits décennal et centennal au droit des stations de mesure ————————————————————————————————————————————————————————————
A Varanges ça devient limite pour le pont
Et à Genlis la Norge quitte son lit…
Tandis que de l’autre côté de Genlis c’est la Tille qui s’y met ! Cette bourgade est vernie…
Je traverse Pluvault où Tille et Norges s’échangent leur fluide au travers des champs avant de s’accoupler à Treclun pour le plus grand bonheur des habitants…
A Champdôtre la Tille n’est pas la bienvenue dans les maisons…
Et aux Maillys le maire doit mettre les bottes..
Je retrouve l’Ouche à Trouhans….
Puis en remontant l’Ouche j’arrive à Tart-le-Bas toujours à la mairie….
Et retour à Varanges au barrage alimentant le moulin mais aussi le lotissement voisin par dessus la digue !!! Qu’on essaye de raccommoder
Joël Marceaux Météorologue
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Avr 27
La station automatique de St Didier en Donjon est sauvée.
On apprend que la station automatique de St Didier en Donjon sera remplacée prochainement. Elle devait disparaitre. L’administration c’est enfin aperçu que sa présence était indispensable dans l’Est du département de l’Allier . Une bonne nouvelle….
Avr 06
Le manque de vent en Allier ne fait pas peur
Article de la Semaine de l’Allier :
Lionel Roucan : «L’énergie éolienne est pertinente »
La Région souhaite doubler le volume d’énergies renouvelables produites en Auvergne, notamment en misant sur l’éolien. Aujourd’hui très contesté dans l’Allier, l’éolien pourrait encore se développer. Lionel Roucan, vice-président de la Région chargé de la prospective et du développement durable, évoque les ambitions de la Région en matière d’énergies renouvelables.
Quels sont les objectifs de l’Auvergne en matière d’énergies renouvelables ?
Il faut que l’on parvienne à avoir une part conséquente d’énergies renouvelables dans notre mix énergétique. Aujourd’hui, nous sommes à environ 14 % de l’énergie produite en Auvergne, bois et hydroélectricité comprise. Notre volonté est de parvenir à 30 % de la consommation énergétique d’ici à 2030.
Est-ce réalisable ?
Oui, c’est un objectif réaliste, qui va demander à tous les partenaires des efforts. Mais la première chose à faire, c’est de réduire nos consommations d’énergie. Ensuite, cela passe par les transports collectifs et individuels, par la rénovation des bâtiments, par une utilisation mieux maîtrisée de l’énergie, et par l’installation de nouvelles sources de productions énergétiques. Nous avons notamment une vraie carte à jouer avec l’énergie bois, qui est très largement sous exploitée. Mais aussi avec l’éolien.
Partout où des projets éoliens éclosent, on assiste à une forte hostilité des riverains. Pensez-vous que des éoliennes vont continuer à pousser ?
Je le crois, oui. Contrairement à ce que disent ses détracteurs, qui sont souvent peu nombreux mais virulents, l’éolien est techniquement et financièrement pertinent.
Que dites-vous à ceux qui disent que l’éolien est inefficace et pas rentable ?
Pensez-vous vraiment que des investisseurs mettraient 2 millions d’euros pour construire une éolienne qui ne serait pas viable économiquement ? Les détracteurs de l’éolien sont fermés à toute discussion : ils sont enfermés dans une logique qui voudrait que cette énergie soit aux mains d’un consortium germano-scandinave qui détruit les paysages d’Auvergne pour placer de l’argent dans les paradis fiscaux… Il faut être raisonnable : derrière l’éolien, il y a des entreprises, des investisseurs, qui savent ce qu’ils font et qui investissent là où ils pensent qu’il y a un avenir.
L’électricité produite par les éoliennes est aujourd’hui rachetée à un tarif subventionné. Est-ce que l’éolien sera viable sans ces tarifs ?
Hélas, le coût de l’énergie ne va pas aller en diminuant. On peut donc penser que dans les années à venir, même si ces incitations à la production d’énergies renouvelables disparaissaient, l’électricité produite par les éoliennes deviendrait concurrentielle par rapport à d’autres sources d’énergies, qui elles ne sont pas renouvelables et sont en cours d’épuisement.
Pour vous, c’est donc une énergie efficace, et souhaitable.
Oui, d’ailleurs, l’éolien a des rendements beaucoup plus intéressants que le solaire et le photovoltaïque. En revanche, il y a une question plus subjective qui est celle de l’impact sur les paysages. Là, je comprends que tout le monde ne soit pas d’accord : certains trouvent que les éoliennes défigurent un paysage, d’autres s’en accommodent, certains trouvent même cela joli… À la limite, je comprends ce type d’opposition subjective, mais il faut arrêter de trouver des prétextes prétendument techniques ou financiers pour s’y opposer.
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Note : On dit que l’amour rend aveugle, il n’y a pas que l’amour qui rend aveugle, malgré le manque de vent , des intégristes des énergies vertes passent outre et vont détruire l’environnement pour produire des clopinettes de kW de mauvaise qualité! Si il n’y avait pas des avantages fiscaux anormaux pour les promoteurs éoliens, il y aurait moins d’éoliennes plantées dans des endroits sans vent ! Et sans créer le moindre emploi dans le département . Pour information on à 5% de rendement en plaine et 10% en Montagne Bourbonnaise.
L’Allier est un des départements les moins ventés et il y a plus de 800 éoliennes en projet !
Avr 03
Record de froid en ce printemps
Record de froid pour un printemps dans sept villes du nord de la France
Le Parisien Publié le 01.04.2013
Les dix premiers jours du printemps sont les plus froids jamais enregistrés dans sept villes de la partie nord de la France allant de Brest à Strasbourg, a annoncé Météo France. | LP / Arnaud Dumontier
Sur l’ensemble du mois de mars, il a fait 1,5°C de moins que les normales saisonnières, et il faut remonter à 1987 pour trouver des températures aussi basses. Et avant cela, 1970, 1962 et 1955.
Pour certains climatologues, ce phénomène serait une conséquence du… réchauffement climatique !. Selon eux, la fonte de la banquise arctique, en modifiant les échanges entre océan et atmosphère, modifierait la circulation atmosphérique dans l’hémisphère nord où les hivers deviendraient plus rigoureux.
LeParisien.fr
Remarques : La remarque des soi-disant climatologues sur cette persistance de froid du au réchauffement climatique est du même niveau que les experts économistes sur la hausse ou la baisse de la Bourse. Les mêmes causes provoquent des effets inverses, et vice-versa . Lamentable !
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