Nov 22

Journée de vendredi 22 novembre avec chutes de neige sur l’Allier

Jean Almazan, sous-préfet de Vichy, s’est rendu sur le terrain pour reconnaitre l’état des routes et rencontrer des habitants, soucieux de porter secours aux personnes isolées.

L’alerte a été donnée ce matin pour porter secours aux personnes âgées vivant dans les villages isolés de la Montagne bourbonnaise, recouverte de 30 à 70 cm de neige suivant l’altitude, et jusqu’à 1,20 m à La Loge-des-Gardes.

Au cours de la journée, sept personnes âgées, en santé précaire, ont été amenées en ambulance ou en 4×4, salle de Boulaire, au Mayet, où avaient été installés des lits ainsi qu’une infirmerie.

Nov 21

Nouvelle vigilance orange Neige Verglas pour l’Allier

L’alerte à la neige et au verglas a été renouvelée cet après-midi sur le département du Puy-de-Dôme, de l’Allier et de la Haute Loire. Un nouvel épisode neigeux conséquent et durable est prévu à partir du milieu de la nuit de jeudi 21 novembre à vendredi en Auvergne.

Nov 20

Le Département de l’Allier en Vigilance Orange cette nuit

Ce mercredi 20 novembre, un nouvel épisode neigeux est attendu dans la soirée vers 22H. Météo France a placé dès 16h l’ensemble de la région Auvergne ainsi que le département de la Corrèze sous vigilance orange à la neige et au verglas.

Nov 20

Premières chutes de neige sur la région Vichyssoise

Ce 20 novembre 2013 l’offensive hivernale a commencé, Vichy a connu ses premières chutes de neige dans la nuit de mardi à Mercredi. Chutes faibles (2à 3cm) à Vichy mais la neige reste sur les toits des maisons et des voitures.

Des difficultés de circulation sur le secteur de Vichy, Lapalisse et la Montage bourbonnaise.

En Montagne bourbonnaise, la D 995 et la RD 7 étaient coupées ce matin à 7 h 15 en raison de chutes d’arbres.Des coupures d’électricité touchent certains village des Monts de la Madeleine.Parlons hauteur de neige; une bonne trentaine de centimètres à Nizerolles et au Mayet, tandis qu’à la Loge des Gardes, certains annoncent de plus de 50 cm…

Dans les monts du Velay , ce midi un habitant de Marat (63) nous signale qu’il relève 40cm de neige chez lui. Avec aussi des arbres sur la route, les conditions de circulations sont extrêmement difficiles, même pour les véhicules 4 x 4!

 Le journal La Montagne signale :

“Incirculable”. C’est le terme utilisé, ce mercredi matin, par le Conseil général de l’Allier pour qualifier certains secteurs de la Montagne bourbonnaise où il est tombé entre 25 cm (au Mayet-de-Montagne) et 50 cm de neige (à la Loge des Gardes et à Saint-Nicolas-des-Biefs). Une bonne dizaine de routes départementales ont tout bonnement été fermées à la circulation, dès les contreforts du massif, au dessus de 400 à 500 mètres d’altitude, depuis Busset, Molles, Châtelus et Isserpent.

Une cinquantaine d’agents du Département, renforcés par des collègues de Dompierre et Saint-Pourçain-sur-Sioule, sont mobilisés. Avec plus d’une dizaine de chasse-neige. Sauf que les engins ne peuvent pas intervenir. La faute à une neige lourde qui a provoqué la chute d’arbres, encore pourvus de feuilles, et de branches sur la chaussée. La priorité des équipes du Département consiste donc à dégager les routes pour ensuite engager les chasse-neige. Ce qui prend du temps. D’autant que la neige continue à tomber et que de nouvelles chutes d’arbres compliquent la tâche des agents.

Ce matin, les transports scolaires n’ont pas eu lieu. Les chutes de neige sont fréquentes sur la Montagne bourbonnaise. Mais c’est la première fois depuis au moins cinq ans qu’elle provoque de telles perturbations.

Dans le reste de l’Allier, la situation est relativement normale. Sauf dans les traditionnels points noirs, comme à La Bosse, près d’Echassières, ou au Montet. Mais aussi du côté de Lapalisse où il faut gérer l’afflux de poids lourds se dirigeant vers la Loire, particulièrement touché par l’épisode neigeux. Une déviation être mise en place pour rejoindre Lyon sans passer par la RN 7.

Neige : le train Clermont-Lyon fait demi-tour

Le train en partance de Clermont-Ferrand, ce matin, à 6 h 25, n’a pas pu arriver à destination de Lyon. Il a été bloqué à Lapalisse en raison de la présence de branches sur la voie. La SNCF a décidé qu’il n’irait pas plus loin. Un retour à Clermont avec l’ensemble des voyageurs est prévu en milieu d’après-midi. Un ravitaillement en plateau repas doit avoir lieu en fin de matinée, à Saint-Germain-des-Fossés.

Poids lourds interdits sur la N7 après Moulins

Les importantes chutes de neige dans le département de la Loire ont contraint la préfecture de l’Allier à interdire, ce mercredi matin et jusqu’à nouvel ordre, aux poids lourds de circuler sur la RN 7 à partir de Toulon-sur-Allier, au sud de Moulins (sauf dessertes locales). Les camions sont déroutés par la RCEA pour ceux se rendant la région Rhône-Alpes. Dans l’Allier, la circulation est également interdite aux poids lourds sur la RD 46 entre Saint-Pourçain-sur-Sioule et Varennes-sur-Allier, dans le sens est-oues

Nov 16

Offensive hivernale dans la Montagne Bourbonnaise

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Les premiers flocons sont tombés jeudi 13 novembre 2013 au matin en Montagne bourbonnaise. Les habitants ne s’attendaient pas à trouver 10 à 15 cm de neige à La Loge des Gardes ce vendredi matin

Oct 21

Pas de Préférence nationale – Perte de France-Télévison pour Météo-France

Météo France vient de perdre l’appel d’offres concernant les bulletins météo de France 2 et France 3 au niveau national mais conserve les journaux régionaux de France 3.

Une petite averse mais pas un violent orage pour Météo France. Comme l’a révélé le magazine Challenges , l’établissement public vient de perdre l’appel d’offres lancé en juin dernier par France Télévisions concernant les bulletins météo de France 2 et France 3 au niveau national. A partir de janvier et jusqu’en 2016, les deux chaînes feront désormais appel à MétéoGroup, une société dont les actionnaires majoritaires sont anglais, et à sa filiale française.

Après étude des dossiers, France Télévisions a estimé que Météogroup apportait «un meilleur service éditorial, notamment en matière d’infographie». Un point faible que reconnaît volontiers Météo France. «Nous sommes très axés sur la qualité de nos prévisions, c’est vrai que nous avons encore des efforts à faire sur les questions de mise en scène et de mise en image», estime Dominique Lapeyre, son directeur commercial adjoint. Le facteur prix a aussi été déterminant dans la décision de France Télévisions. « Le vainqueur de l’appel d’offres garantissait une meilleure prestation pour un montant inférieur, d’un peu moins de 30 %», explique la direction du groupe audiovisuel. De quoi irriter les syndicats de Météo France, qui dénoncent un manque de solidarité entre établissements publics. «C’est oublier un peu vite que nous sommes astreints à la mise en œuvre d’un appel d’offres régi par la législation européenne. Or, à moins de se mettre hors la loi, celle-ci interdit à France Télévisions d’appliquer la préférence nationale», fait valoir la direction du groupe audiovisuel.

Un marché de quelque cinq millions d’euros en France

Si cette annonce est une mauvaise nouvelle pour Météo France, elle n’est pas dramatique pour autant. Car l’établissement public conserve toutefois la part la plus importante du marché météo de France Télévisions. «En matière de valeur, nous détenons 75% des budgets alloués», confirme Dominique Lapeyre, le directeur commercial adjoint de Météo France. Ce qui correspond à l’ensemble des journaux régionaux de France 3 ainsi qu’à tous les décrochages sur le territoire de l’Outre-Mer, précise de son côté la direction de France Télévisions. On est donc très loin du lot de consolation! .

Sachant qu’en France le marché de la météo dans les médias (presse écrite, radio, télévision) représente environ cinq millions d’euros, l’appel d’offres perdu se chiffre tout au plus à quelques centaines de milliers d’euros. «De toutes les manières, c’est un marché très peu rentable», estime un bon connaisseur du secteur. En outre, l’activité commerciale de Météo France ne représente que 10% de l’activité du groupe qui se consacre avant tout à des missions de service public.

Oct 17

France-Télévision se fournit à l’étranger ! Patriotisme économique selon Montebourg!

La météo de France Télévisions bientôt… anglaise

Gros coup de froid à Météo France. L’établissement public vient d’apprendre que France Télévision ne fera plus appel à ses services pour établir les prévisions des bulletins météo de France 2 et France 3 national. Le groupe audiovisuel avait en effet lancé en juin dernier un appel d’offres pour la fourniture des données sur la période 2014-2016.

Après trois mois de consultation, la nouvelle est tombée sur le bureau du directeur commercial de Météo France : France 2 et France 3 nationale ne renouvèleront pas leur contrat avec l’établissement public. Les deux chaines ont trouvé un prestataire dont les tarifs sont inférieurs de 30% à ceux de Météo France.

A partir de janvier, c’est un groupe londonien, MeteoGroup et sa filiale française, qui deviendra le nouveau partenaire des chaines publiques.

“C’est une provocation” tonne un syndicaliste de Météo France

Météo France a quand même obtenu un lot de consolation : “nous avons remporté la fourniture des prévisions pour l’ensemble des éditions régionales de France 3 et celle pour les chaînes Outremer”, précise Météo France.

Pour les personnels de Météo France, cette nouvelle sonne comme une bombe. “C’est une provocation, note un syndicaliste, il n’y a même plus de solidarité entre les services publics”. Du côté de la direction de l’établissement, on tente de minimiser: “les activités commerciales de Météo France représentent 10% de l’activité de l’établissement, précise la direction, nos missions premières, en tant que service public, sont la sécurité des personnes et des biens, l’assistance pour l’aéronautique et la défense”.
189 suppressions d’emplois programmées entre 2013 et 2014

Mais cette nouvelle tombe mal pour Météo France. Cette crise entre les deux établissements publics intervient alors que Météo France a appris début octobre que, dans le cadre des efforts demandés par l’Etat à ses opérateurs, l’établissement va perdre 89 emplois en 2014 après déjà 100 suppressions de postes en 2013 sur 3.500 salariés.

Une situation délicate que devra gérer le futur patron de Météo France. Car à ce jour, le ministère de tutelle de l’établissement, le ministère de l’Écologie n’a toujours pas nommé de remplaçant à François Jacq, qui a quitté la présidence de Météo France en septembre pour celle de l’Ifremer

N’oublions pas la suppression de 53 Centres départementaux d’ici 2017 !

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La société MeteoGroupe a soi-disant avec une filiale française qui est située à Brest. C’est en fait une boîte postale, pas le moindre Bureau!
Le Numéro de téléphone lui est situé en région parisienne, étrange!

MeteoGroup France

6 rue Porstrein
Brest 29200
France

T    +33 (0) 1 72 71 49 20

F     +33 (0) 9 55 27 02 30

E    france@meteogroup.com

Oct 10

Bilan septembre 2013 de la station Météo de Saint-Félix (altitude: 340m)

Température sous abri (non normalisé), station Otio WHS-7041:

Température: moyenne: 16.7°C
Température mini: 8.6°C le 2 à 07h00
Température maxi: 33.4°C le 5 à 18h00

Jours avec Tx >= 25°C : 9
Jours avec Tx >= 30°C : 2

Pluviométrie (Lacrosse WS7038) : 63.7mm

Pour rendre visite au site internet de notre correspondant Patrick :
http://meteodu03.free.fr/

Oct 08

Quand l’éolienne consomme plus d’électricité qu’elle n’en produit

08 octobre 2013
Quand l’éolienne consomme plus d’électricité qu’elle n’en produit

Jean-François L. , propriétaire d’une maison dans le Vaucluse, est démarché par la société Prom Service Distribution (Psd13), le 24 mai 2012.

Elle lui propose d’installer sur le pignon de sa maison une éolienne censée produire de l’électricité pour sa propre consommation. Il économisera ainsi de 400 à 600 euros par an, assure-t-elle.

Le coût de l’éolienne sera de 14 000 euros, financés par un prêt de Franfinance, au taux de 6,90%. Il se laisse convaincre…

Un sous-traitant de la société Biowatt installe l’éolienne le 9 juin 2012. Elle tourne, donc elle marche, pense M. L.

Las, il constate bientôt, sur ses factures d’EDF, que l’éolienne de pignon lui fait consommer plus d’électricité que d’habitude. Entre juillet et décembre 2011, il utilise 6074 kilowatts; entre juillet et décembre 2012, il en consomme 6471.

Après un fort mistral, en février 2013, l’installation doit être mise à l’arrêt, du fait d’un échauffement anormal et du déplacement de son mât.

Jean-Pierre Brissaud, expert indépendant en énergies renouvelables, à qui M. L. demande d’évaluer l’installation, écrit le 1er mai 2013 que “du fait de sa position inappropriée en pignon, ladite installation se trouve impropre à produire la quantité d’électricité prévue dans l’offre commerciale.”

Sur son blog Greenkraft-Expertise, M. Brissaud explique que l’éolienne de pignon ne peut bénéficier que d’un très pauvre rendement, en raison de sa basse altitude : les vents soufflent plus faiblement à quatre mètres du sol qu’à quarante. En outre, le corps de l’habitat génère des turbulences qui font tourner l’éolienne comme une girouette, et provoquent des coupures incessantes.

L’expert estime qu’une éolienne de pignon de 1000 watts, comme celle de M. L., ne peut pas produire plus de 2000 kilowatts par an. “Avec un coût moyen de 0,10 euros par kw/h, l’économie réalisable n’excède donc pas 200 euros par an”, calcule-t-il. On est loin des “400 à 600 euros” promis.

En outre, dans le cas de M. L., le dispositif a été raccordé directement au réseau domestique, si bien que, lorsque le générateur dispense plus d’énergie que le réseau domestique n’en consomme, l’excédent est renvoyé gratuitement sur le réseau EDF!
Pour éviter cela, il aurait fallu que l’installation dispose de batteries et qu’elle alimente un circuit partiel séparé. “L’économie réalisable par un tel générateur se situe entre 75 et 100 euros par an seulement”, calcule M. Brissaud. On s’éloigne encore des promesses commerciales.

Enfin, l’onduleur puise du courant chez EDF, lorsque le vent est trop faible. A l’inverse, lorsque celui-ci souffle fort, le dispositif de freinage de sécurité de l’éolienne mange lui aussi du courant.

Au lieu de diminuer, la consommation électrique de l’habitation a donc augmenté, depuis l’installation de l’éolienne, confirme M. Brissaud, et M. L. aurait pu s’attendre à “une hausse de sa facture de l’ordre de 350 euros par an”, si l’engin n’avait pas été arrêté.

Etonnant, non, une éolienne qui consomme plus d’électricité qu’elle n’en aurait produit ?

Lorsque M. L. a contacté Prom Service Distribution, pour protester, il n’a pas obtenu d’interlocuteur. L’entreprise a été mise en liquidation judiciaire le 28 janvier 2013. Entre-temps, un commercial, furieux d’avoir été licencié, a mis M. L. en contact avec d’autres clients mécontents. Ils sont une quinzaine à constater que leur éolienne de pignon ne marche pas. “La mienne a glissé, mais d’autres se sont envolées. Dans certaines habitations, elles provoquent des vibrations insupportables”, indique M. L.
M. Brissaud constate que certains murs s’effondrent, car ils ne supportent pas le scellement pratiqué pour accrocher le générateur et ses pales.

L’expert constate actuellement un “emballement de la vente d’éoliennes de pignon”: “Malheureusement, il semble que tous les aigrefins ayant sévi dans le domaine du photovoltaïque avant que celui-ci ne s’effondre se soient donné le mot pour vendre maintenant ce genre de produit”, constate-t-il. “Pourtant, les éoliennes de pignon sont une véritable arnaque, et l’Etat devrait supprimer le crédit d’impôt (de 32%) qui accompagne leur installation. ”

L’UFC Que-Choisir vient de faire le même constat dans un article intitulé “Eoliennes domestiques : arrêtez tout !” (octobre 2013): les éoliennes de pignon produisent si peu d’électricité qu’elles ne se rentabilisent jamais. Et pourtant, elles poussent comme des champignons dans les zones réputées venteuses (Ouest, vallée du Rhône, Languedoc-Roussillon…)

Le syndicat des constructeurs français de petit éolien (Sypeo) explique que pour qu’une éolienne produise, il lui faut “un terrain très dégagé, avec un rayon de trente mètres au minimum sans obstacle”.

L’Association française des professionnels du petit éolien met le public en garde : elle n’a “jamais rencontré de possesseur d’éolienne de pignon heureux”.

En l’occurrence, Prom Service Distribution ayant été placée en liquidation judiciaire, comment M. L. et ses amis peuvent-ils se faire rembourser ? Nous vous invitons à lire la réponse dans le Monde daté vendredi 11 octobre.

Oct 04

Le climat de Septembre 2013 en Bourbonnais

Températures, précipitations, ensoleillement…

 

Des hauts et des bas. Septembre a soufflé le chaud et le froid, a alterné les jours de pluie et les journées sèches, ensoleillées et chaudes.

 

On aurait pu croire que l’hiver amorçait déjà son retour sur la pointe des pieds en plein mois de septembre. À partir du vendredi 6, les maximales oscillaient entre 15 à 19° en plaine (10 à 14° à 1.000 mètres), soit 4 à 7° de moins que la normale, a relevé Météo France. Une fraîcheur sous un ciel gris et des pluies quotidiennes pendant une dizaine de jours. Bref la fin définitive de l’été. Pas tout à fait… Le soleil est revenu à la fin du mois, quelques jours (à partir du 21 septembre) : « Il y a eu un retour des conditions anticycloniques, note le prévisionniste Joël Wathier. Le temps a été sec et bien ensoleillé avec des maximales qui ont atteint 25 à 28° en plaine, soit 5 à 7° au-dessus de la normale. »

Le 27 ferme le ban de cette période estivale avec des températures record. Ce jour-là le soleil brille à Lurcy-Lévis (26,8°), à Chareil-Cintrat (29,6°) : « Les températures maximales sont très élevées, situées 8 à 10 degrés au-dessus des normales. »

Les trois derniers jours de septembre signent le retour de la pluie, des nuages, de quelques orages et d’une chute de 10 degrés des températures.

Les précipitations, assez régulières tout au long du mois, ont fait le balancier : 57 mm cumulés à Saint-Didier-en-Donjon, 140 mm à Sant-Nicolas-des-Biefs. Une explication à ces variations : les orages. Les secteurs du département les plus arrosés ont été la Montagne bourbonnaise et le sud du Val de Cher : « Ils ont reçu des précipitations excédentaires d’environ 20 %, indique Joël Wathier.
Sur le reste du département les valeurs sont proches de la normale ou faiblement déficitaires. La région qui s’étend de Bourbon-l’Archambault au Pays de Lurcy totalise un déficit un peu plus important de l’ordre de 20 à 25 %. Les pluies sont fréquentes tout au long du mois, seules les périodes comprises entre le 1 er et le 5 et entre le 21 et 24 ont évité les gouttes d’eau ». Les maximales ont été relevées à Charmeil, le 6 septembre avec 25,2 mm, et à Montluçon, le 14 septembre (27,4 mm). Moins de soleilL’insolation a été déficitaire de 15 à 20 % sur l’ensemble de l’Allier. Septembre se classe à Vichy (153 heures) au onzième rang des mois de septembre les moins ensoleillés depuis 1949. Le record avait été battu en 1994 avec 117 heures. À l’inverse, le mois de septembre 1997 détient le record de mois de septembre le plus ensoleillé avec 279 heures d’insolation.

 

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