Juin 01
Etat de la sécheresse
Mai 28
Décès du DDM de Savoie
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Voici l’ hommage que lui rendent ses collègues du CDM de Chambéry :
Notre ami Philippe est décédé chez lui, entouré par sa famille, samedi 24 mai à l’âge de 59 ans.
Il était atteint depuis la fin de l’été dernier par un cancer contre lequel il s’est battu dignement jusqu’au bout, et dont il connaissait l’issue inéluctable depuis plusieurs mois.
L’humanité est sans doute le trait de caractère que tous ceux qui l’ont côtoyé voudront retenir.
Sa carrière de météorologue passionné et spécialiste de météo montagne fût riche :
Entré à la météorologie nationale par le concours d’ITM, promotion 1975-1978 au fort de Saint-Cyr, il est titularisé le 2 octobre 1979 et affecté à Colmar sur la base militaire. Il est devenu en août 1982 le chef de cette station puis le délégué pour le Haut-Rhin en 1983. Mais, parisien d’origine, sa passion pour la montagne a été la plus forte et il prend le 20 septembre 1983 le poste de délégué départemental pour la Savoie à Chambéry. Devenu progressivement une référence de la prévision en zone de montagne, il s’est naturellement investi dans l’épopée de l’assistance aux Jeux Olympiques d’Albertville. Il était affecté sur le site de ski de fond des Saisies. Il est promu ingénieur divisionnaire en avril 1997. Il a consacré l’essentiel de son énergie au fonctionnement du centre de Chambéry, à transmettre son savoir aussi bien en interne au travers d’études de cas pour les ateliers de la prévision qu’en externe en promouvant les réseaux de mesures en Savoie et en intervenant à l’Université de Savoie. Il savait motiver son équipe par ses conseils et lui faire partager son enthousiasme de prévisionniste.
Philippe restera donc comme une grande figure de la météorologie de montagne, très attaché à la Savoie et au centre de Chambéry dont la fermeture annoncée l’avait profondément affecté.
Nous n’oublierons pas ses autres passions qu’il nous faisait largement partager. Mélomane averti, il jouait avec maîtrise du piano. Jardinier convaincu du bio, il nous régalait régulièrement à la cantine de ses salades et terrines de lapin. Sa passion du sport nous a entraînés dans de nombreux footings autour de l’aéroport, dans des gymnases pour voir évoluer son fils basketteur professionnel, sur les pistes de ski de fond où il allait souvent jusqu’au bout de l’effort… sans oublier les nombreuses sorties, parfois galères, en montagne ; l’appareil photo en bandoulière, toujours partant pour gravir un sommet des Alpes à pied, à skis ou en crampons.
Nous garderons de lui le souvenir de sa gentillesse, de son humilité, de sa motivation, de ses compétences, bref de quelqu’un de bien qui nous manque déjà beaucoup.
Mai 12
Eoliennes Mtg Bourbonnaise “Lettre ouverte de M Grangeon”
Notre pays connaît actuellement une crise sans précédent. Dans ce contexte, aucun dysfonctionnement susceptible de porter préjudice à la collectivité ne doit permettre de douter. La
présente lettre ouverte vous soumet un certain nombre d’interrogations étayées qu’il convient désormais d’éclairer.
L’attention de contribuables et d’associations a été retenue depuis plusieurs années par la curieuse opération du « Chemin de la Ligue », ferme éolienne implantée en Montagne Bourbonnaise sur les communes de Laprugne, Ferrières sur Sichon et Saint Clément. Le présent courrier s’en fait le porte-parole. De nombreux points en ont déjà été pris en compte par le Directeur Général de la Commission de Régulation de l’Energie à Paris, ou le Premier Président de la Cour des Comptes qui a également bien voulu répondre par écrit et transmettre à la deuxième chambre compétente.
Tout d’abord, avant même de voir le jour, cette opération a fait l’objet de trois changements de propriétaires dans d’obscures conditions de légalité et de financement qui n’ont jamais été clarifiées, y compris au niveau fiscal : Erelis puis Enel et enfin Financière du Cèdre. Jamais les formalités pourtant légales de changement de bénéficiaire n’ont été accomplies, comme par exemple au niveau du permis de construire, alors qu’un simple formulaire suffisait. Pourquoi ?
Ensuite, le cumul des « facilités » étonnantes accordées successivement finit par poser de lourdes interrogations :
- Cette opération est classée officiellement en ICPE. Les abords de l’opération, totalement ouverts au public en zone naturelle de montagne et de randonnée, ne comportent aucun avertissement, ni aucune information ou aucun numéro d’urgence à propos des installations techniques. Seuls quelques fléchages ponctuels ont été improvisés.
- Aucune précaution de prise illégale d’intérêt n’a été mentionnée dans les délibérations des communes à propos des propriétaires de parcelles louant les terrains d’emprise. Ce cas est souvent rencontré et a donné lieu à plusieurs poursuites pénales, de plus en plus fréquentes. Il conviendrait d’en être assuré.
- Il n’a été noté aucune information relative à l’inspection ou au suivi du site. Les commissions de suivi de site, qui succèdent aux CLIS et aux CLIC ( dès la publication du décret au JORF, soit le 9 février 2012)- doivent être créées par arrêté du préfet de département (ou éventuellement arrêté conjoint des préfets de départements concernés) (art. R.125-8-1 du CE). Composées d’au moins un membre provenant respectivement des administrations de l’Etat, des élus des CTI, des riverains des installations classées ou associations de protection de l’environnement, d’un exploitant d’ICPE et des salariés de l’ICPE concernée – lesquels sont nommés pour 5 ans par l’autorité préfectorale – (art. R.125-8-2 du CE), ces commissions de suivi de site (CSS) se réunissent au moins une fois par an ou sur demande d’au moins 3 membres du bureau (art. R.125-8-4 du CE). Leurs réunions sont ouvertes au public et le bilan de leurs actions doit être mis régulièrement à disposition du public ( art. R 125-8-4 du CE).
- Un changement du type de machines prévues a été introduit postérieurement au permis, trois ans plus tard, entrainant notamment un changement de hauteur de plus de dix mètres, sans dépôt de modificatif, alors même que le rapport spécial de l’inspection générale du Ministère sur l’instruction de ce type de permis le recommandait expressément. Cette hauteur n’a jamais été modifiée pendant toute la durée d’affichage du permis de construire.
- Une « autorisation tacite préalable » de défrichement portant sur des changements considérables d’affectation de parcelles de forêt ne semblant pas conformes aux textes, alors que seuls 20 arbres étaient autorisés par éolienne sur le document officiel de permis de construire.
- L’implantation d’au moins une éolienne sinon deux semble à moins de 500 mètres d’habitation, certains documents topographiques comportant des absences.
- L’absence de mesures de bruit conformes aux conditions pourtant claires émises par la DDASS (appellation en vigueur au moment du permis) lors de la décision du permis de construire, par courrier spécial annexé au permis.
- L’absence de publication légale des comptes par la société du Chemin de la Ligue, contrairement aux obligations légales en vigueur pour toute société, y compris sous régime SAS, sauf pour l’année où un maire riverain a dû fortement insister pour un début de transparence, y compris par saisine spéciale du Président du Tribunal de Commerce de Caen. Il n’est pas permis d’y vérifier la substance des provisions légales pour démantèlement.
- La délivrance curieuse de deux Codoa distincts pour un montant total de 16 MW rassemblés en un seul permis de construire. Cette opération est totalement contraire aux dispositions en vigueur entre 2006 et 2010, et aurait dû appeler un modificatif de permis de construire ou deux dossiers distincts pour dépassement du plafond autorisé de 12 MW, le permis ayant été délivré en 2007.
- Un voyage d’études en Espagne a été mentionné spontanément par un élu lors d’une réunion publique en présence du Président du Conseil Général à Ferrières sur Sichon. Aucune précision sur un éventuel conflit d’intérêt n’a pu être obtenue à ce sujet. Aucun compte rendu n’en a été dressé.
- Les tranchées du câble électrique de desserte de cette opération ont été réalisées dans des milieux pollués par des stériles de l’ancienne mine d’uranium voisine sans que les équipes de chantier ni les riverains ne fassent l’objet d’une mesure particulière d’information ou de protection. Aucune vérification a posteriori n’a été effectuée.
- La Fédération Française de Randonnée Pédestre, association reconnue d’utilité publique, et gestionnaire officiel des sentiers de grande randonnée GR® depuis 1947, est le seul organisme à ne pas avoir été consulté pendant l’instruction du permis de construire, alors que cette opération est précisément implantée sur un sentier de grande randonnée classé, régi par les Codes des Sports et de l’Environnement. Cet organisme a découvert avec stupéfaction le début des travaux en 2010 et a protesté officiellement.
- Une annonce dans la presse a été passée en vue de recruter un sous-traitant ponctuel chargé d’une maintenance de proximité notamment pour traiter les incidents dus aux orages fréquents. Il ne semble pas que des habilitations particulières aux manipulations des installations sous moyenne et haute tension aient été mentionnées, cette opération étant située en milieu isolé.
Mai 05
L’Aéroport de Dijon fermera-t-il?
Alors que la Base aérienne 102 abandonne définitivement les pistes et toute activité aérienne d’ici 2 mois, l’avenir de l’aéroport doit se jouer d’ici 3 semaines. Les salariés que j’ai d’ailleurs rencontrés il y a 15 jours ne savent rien de leur futur.
Fermera fermera pas ?
lien ici
Merci à Joël Marceaux pour cette info
Avr 25
La Bourgogne frappée par la sècheresse
Sans que nous nous en rendions toujours bien compte , la situation des sols superficiels, ceux-là même exploités par la majorité des plantes ( les 2 premiers mètres ) est catastrophique , notamment dans le nord-est de la France.
Ainsi le document joint qui visualise la position statistique du contenu en eau des sols en Côte d’Or (indice SWI), avec en rouge la courbe de 2014.
La valeur au 21 avril 2014 soit environ 0,65 ( 65%) est ainsi la plus basse sur une période de 56 années !
La combinaison de températures très au dessus de la normale depuis ce début d’année , d’un manque très marqué de pluie depuis 2 mois au moins, d’un ensoleillement très excédentaire et d’un vent de nord fréquent abouti à ce résultat.
C’est ainsi qu’en avril plus de 100 mm se sont évaporés, aidés en cela par un démarrage précoce de la végétation qui pompe davantage dans les réserves alors que les pluviomètres n’ont mesuré que 8 mm de pluie.
Joël Marceaux
Avr 15
Rappel Fermeture du CDM des Côtes d’Armor
Météo-France ferme son centre départemental des Côtes-d’Armor
Avr 15
Rappel Fermeture en 2013 du Centre météo des Ardennes
Fermeture de la station de Belval en 2013 Sale temps pour Météo France

La disparition programmée du centre météorologique départemental privera les Ardennes d’un interlocuteur de terrain essentiel.
ALERTE orange pour le centre départemental de Météo France. Du 13 au 19 octobre, les cinq agents de la station de Belval ont observé un mouvement de grève. Une action traduisant bien l’inquiétude du personnel lequel a eu la confirmation de la fermeture de l’infrastructure ardennaise en 2013.
Evoquée dès 2008, cette mesure a été validée par le ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de… l’Aménagement du territoire. Comme 49 autres centres sur le territoire national, le site de Belval sera donc sacrifié et passé à la trappe. Victime en l’occurrence d’un démantèlement en règle dans le cadre de la révision générale des politiques publiques (RGPP), ce qui va entraîner des réductions des coûts, des transferts d’activités, le non-remplacement de départs en retraite, des reclassements et mutations pour arriver à « une meilleure gestion des moyens de Météo France ».
« Dans notre cas, c’est Reims qui à l’avenir couvrira la zone. Et on peut raisonnablement craindre pour la fiabilité des prévisions et des observations qui seront alors opérées depuis un département voisin », s’inquiète Romain Coharde en déplorant cette fuite d’activités.
Un outil précieux
La connaissance et le contact du terrain ainsi que le travail de proximité étaient pourtant des atouts indéniables de la station locale. Un gage essentiel de justesse et de qualité du service.
Et même si les agents locaux continueront de fournir les informations à partir de Belval, le personnel en place craint une dégradation des prévisions.
Au moment où la disparition de la station se précise, le chef de centre avance d’autres arguments pertinents pour défendre l’utilité de la structure. « Il s’agit d’une activité vitale pour la prévention des risques climatiques et la mise en place des dispositifs de surveillance sur les routes lors d’inondations ou épisodes neigeux. Les données recueillies et transmises à la Préfecture ou au Département permettent ainsi d’accompagner la sécurité des gens ».
La réorganisation en cours chez Météo France ne présente rien de bon aux yeux de Romain Coharde qui s’interroge sur l’avenir du CDM. « A moyen terme, notre champ d’actions sera réduit à la rédaction de bulletins. On n’aura plus notre mot à dire sur les prévisions. Le risque, c’est la perte d’expertises locales et de réactivité par rapport à des phénomènes évoluant rapidement. Cela peut aboutir à des incohérences et des dysfonctionnements. J’invite donc les usagers à être vigilants sur une éventuelle perte de qualité et avoir un degré d’exigence ».
Avec le retrait des messages d’observation pour l’aéronautique, l’arrêt du remplissage des bases de prévisions et les pertes de certains marchés, l’ingénieur redoute aussi une sous-activité progressive. L’amoncellement de nuages fait que le climat est lourd à la station de Belval où le baromètre n’est pas franchement au beau.
Avr 15
Rappel Le Centre Météo de Bergerac a fermé en Juillet 2013
Annoncée depuis plusieurs années, la fermeture de la station de Bergerac fermera a été actée. Les bâtiments seront vidés à l’automne

Mais la réponse ne devrait pas varier. « Le monde d’aujourd’hui n’est plus celui des années 1980, quand on a créé les stations locales », explique Marc Payen, le directeur interrégional de Météo France. « Il y a moins besoin d’être sur place », pour prévoir finement les aléas du climat. Les syndicats parlent d’une « proximité occultée au détriment d’un système de rendement ».
Mais selon la direction, le réseau local d’observateurs d’État – leur nom officiel – et les stations automatiques suffisent à garantir la justesse des prévisions. Et peu importe si Bergerac est bien située entre Limoges, Agen, Brive et Bordeaux, comme plaident les élus. « Le manque de proximité peut être pallié par la performance des nouveaux modèles de prévision », abonde l’un des prévisionnistes bergeracois. Qui ne passe pas une journée sans que quelqu’un, inquiet, demande : « Vous partez quand ? »
Avr 15
Fermeture du Centre Météo de l’Orne
Fermeture officialisée du centre Météo France |

L’élaboration et l’expertise locale de la prévision départementale seront abandonnées dès octobre.
C’est confirmé. Le centre départemental de la météorologie de l’Orne fermera en 2014. Les syndicats alertent les élus sur les conséquences d’une telle décision.
On savait depuis 2008 que la menace était réelle. C’est maintenant officiel. Le conseil d’administration de Météo France a confirmé, le 1er juillet, la fermeture du Centre départemental de la météorologie de l’Orne. Une fermeture programmée en 2014. Comme un centre sur deux en France d’ici 2017. Le syndicat des personnels assurant un service météo (Spasmet) et Force ouvrière s’élèvent d’une même voix contre cette décision. Ils viennent d’alerter les élus.
Installé à Alençon depuis 1945, près de l’aérodrome, le centre de l’Orne connaît déjà une diminution de personnel depuis fin juin avec un départ à la retraite non remplacé. L’effectif est passé de six à cinq personnes.
Assistance aéronautique
Deux autres agents doivent partir à la retraite en 2014. La fin est déjà bien programmée. « Dès le 15 septembre, l’assistance aéronautique ne sera plus assurée à Alençon et en octobre, l’élaboration et l’expertise locale de la prévision départementale seront abandonnées », préviennent Gaël Gaudinière (Spasmet Solidaires) et Serge Lesur (FO).
De tous les centres de Basse-Normandie, de Bretagne et des pays de la Loire, celui de l’Orne est pourtant, en nombre d’appels par habitant, le plus consulté. En raison, notamment, du grand nombre d’agriculteurs vivant dans le département et de la rudesse des hivers. Les appels pleuvent dès qu’il neige. Et les deux derniers hivers montrent que le manteau neigeux peut être épais sur les reliefs ornais. Il faudra désormais se priver de la présence physique d’un expert météo dans les cellules de crise. « Les informations fournies ne seront ni analysées, ni validées, ni interprétées par un spécialiste sur place connaissant le territoire », indiquent les syndicats.
Une expertise très précieuse, par exemple, pour décider de bloquer les transports scolaires. Au-delà de cette réorganisation, la situation crée « un sentiment d’angoisse et de souffrance au travail ». Un audit externe a été réalisé par le cabinet Technologia. Il a été mené en septembre à Alençon, sur la base du volontariat.
« L’inquiétude est forte dans les petits centres », pointe Gaël Gaudinière. Que vont devenir les agents toujours en poste ? Les centres du Mans, de Laval, de Chartres et d’Évreux doivent fermer aussi. Restent, autour d’Alençon, ceux de Caen, de Rennes, de Paris et d’Angers.
Un ultime espoir consisterait à remplacer le centre départemental par une antenne. Les météorologistes ne s’imaginent pas quitter l’Orne au terme de près de soixante-dix ans de présence.
Avr 15
Fermeture en 2016 du Centre Météo de la Loire
Centre Météo France d’Andrézieux : fermeture annoncée en 2016

Le centre météo de la Loire promis à la fermeture
C’est désormais confirmé : le centre de Météo France de la Loire sera de la dernière vague des fermetures lancées par le ministère en 2012. Au-delà du drame humain et de 7 emplois supprimés pour le département, une vraie perte d’expertise locale donc de performance et de sécurité pour les entreprises et les collectivités, selon les syndicats.
Il n’a pas échappé à la tempête. La liquidation de plus de la moitié des centres de Météo France a débuté en 2012. Jusqu’à cet été, on ignorait si celui de la Loire ferait partie de la charrette des condamnés. C’est acté depuis un comité d’administration du 18 juillet : le centre de Bouthéon devrait être supprimé en 2016. Un employé pourrait être poussé à la retraite, les autres entre 40 et 50 ans, reclassés. Sans doute au centre régional situé à l’est de Lyon.
« Nous sommes victimes d’une idéologie aveugle, celle de la RGPP (1), le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, constate dégoûtée l’intersyndicale CGT-FO-Solidarité, cela a même empiré pour Météo France : avec le nouveau gouvernement, c’est la totalité des départs à la retraite qui ne sont pas remplacés. »
La fermeture de 55 centres sur une centaine au profit de regroupements régionaux devrait aboutir en 2016, date de fermeture envisagée pour la Loire. Météo France assure que le repli de sa décentralisation développée dans les années 1980 permet des économies sans impact sur sa qualité de service grâce aux évolutions technologiques.
Comme le veut la procédure dans le cadre de la fermeture d’un service public, la préfète de la Loire a été saisie par la direction de Météo France. La démarche veut qu’une écoute de ses arguments soit effectuée par les « usagers locaux », ici préfecture et collectivités, ainsi que celle des employés du centre.
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